La vraie question : avec tout ça, on doit mettre la clim ou pas ?
👨💼 Antoine est responsable environnement sur un site industriel classé ICPE.
Il est sérieux, investi, plutôt carré.
Mais ces derniers temps, il se pose pas mal de questions.
🔎 Entre la CSRD, les bilans GES, les audits énergétiques, l’arrêté préfectoral qu’il faut dépoussiérer, la stratégie mobilité, les obligations de tri, trackdéchets, le décret tertiaire, le décret chaleur tout juste publié pour protéger les travailleurs… il commence à perdre le fil.
📚 Il pensait « juste » devoir suivre les prescriptions de l’arrêté préfectoral, sur lequel il est déjà un peu perdu.
Mais aujourd’hui, on lui parle de reporting RSE, de taxonomie européenne, de BEGES réglementaire, de verdissement de la flotte automobile, de végétalisation de la toiture, de programme de réduction des consommations, de pénalités en cas de non-conformité, …
🌡 Et voilà que la sécurité au travail s’invite aussi dans l’histoire, avec le tout nouveau décret chaleur, applicable dès le 1er juillet.
Finalement, avec tout ça, est-ce qu’on doit mettre la clim ou pas ?
💬 Antoine soupire :
« Moi je voulais protéger la nature… maintenant il faut aussi que je protège les gars de la canicule, les oiseaux du bocage, et que je comprenne le fonctionnement du marché carbone européen… »
🤯 En fait, Antoine n’est pas seul.
La complexité du droit de l’environnement, c’est justement de tout relier :
👉 les textes techniques, les enjeux de terrain, les grandes directives européennes, les réalités humaines et les stratégies d’entreprise.
Et si on arrêtait de voir la réglementation comme une liste de cases à cocher,
…pour en faire un levier de cohérence, d’action et d’impact ? 🌍
👉 Post rédigé par Johann Archambault